Coupe Stanley: le Canadien en grande finale
Ma tristesse et ma déception s’estompent peu à peu: les Golden Knights reviendront plus forts l’an prochain! Le carré d’as est maintenant plus proche que jamais. Si certains se rappellent de 1993, d’autres adeptes ne se remettront pas de cette victoire un 24 juin! Hä! Je me répétais toute la soirée: it was meant to be! 2021 restera bien spéciale pour plusieurs raisons! On se souviendra longtemps de 2021, l’année où tout peut arriver, même une Coupe Stanley! En attendant, #GoHabsGo !
Première rencontre
Rien n’est joué. Il ne faut pas désespérer! Le Canadien a tenté une nouvelle approche en optant pour un style de jeu qui ne lui ressemblait pas, c’est-à-dire de jouer aussi défensif que le Lightning de Tampa Bay. Le tricolore a essayé de surprendre son adversaire. Bien loin de ce que l’on a observé lors des dernières parties contre Vegas. Les tactiques choisies n’ont pas remporté le succès escompté. Le regard (un peu, beaucoup!) frustré de Gallagher, le soupir de KK et l’acharnement de Suzuki: le banc du bleu blanc rouge était loin d’être Kit-Kat dans le Shake and Bake comme dirait Jocelyne dans Radio Enfer. Une ou deux périodes à oublier…
Stay tuned!
Selon moi, le match numéro un se définit en un mot: adaptation. Les Canadiens sont sortis de leur zone de confort. Ça n’a pas fonctionné cette fois-ci. Et puis? Il y a toujours une période d’adaptation à considérer. Je ne sais pas ce que dirait Dominique Ducharme de mon analyse d’adepte d’hockey, (ou gérante d’estrade! Hä!) mais j’estime qu’il doit lui aussi leur laisser one free-pass pour se reprendre!
La cour des grands
J’ai regardé la partie avec mes parents à l’extérieur. Entre une plongée dans la piscine et une gorgée d’eau sous les 33 degrés, c’était le set up parfait. Indeed! En observant le Lightning et le Canadien, je ne pouvais m’empêcher de remarquer la robustesse et la stature impressionnante des joueurs de Tampa Bay. On aurait dit une partie entre les grands frères et les cadets. La différence entre les lignes défensives des deux équipes était notable sans oublier les deux gardiens! Vasilevskiy est sans contredit un mur de ciment avec ses 6’3”, 225 livres! Et même si Carey mesure aussi 6’3”, la carrure d’Andrei est non-négligeable! (C’est peut-être le cinq livres entre les deux gardiens de but qui fait toute la différence. Who knows!) ;)
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Bonne game guys!